ALICE WHITES
« Plus vite, plus haut, plus loin ! »
| Bonjour à vous.
Je m'appelle Alice Lindsay Whites mais mes amis aiment m'appeler Kit comme mon indicatif de pilote Kitty Hawk. J'ai 27 ans et suis originaire de Perth en Australie. J'exerce la fonction de Lieutenante au sein des forces armées de la colonie. J’ai eu la chance d’être compatible avec une Ecaille et je fais donc partie des Guerriers d’Avallon. Côté famille, j'ai rejoint le projet Noé avec ma vieille copine Helena Papadopoulos (et la famille Papadopoulous au complet : le père, la mère, le grand frère et les deux petites soeurs jumelles...). Aux yeux de la colonie, je suis célibataire mais je dois lutter pour le rester parce que la maman d’Helena me veut comme belle-fille
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Ce qu'on dit de moi
Descriptions Physique et Mentale
Mon caractère :J’imagine que l’on me trouve courageuse, intrépide voire un peu casse-cou ? Je suis certainement l’une des seules pilotes de la colonie à oser braver la faune aérienne locale sans paraître ressentir la moindre peur. D’ailleurs, lors de ma première sortie, un foudroiseau s’en est pris à ma navette et a arraché l’un des moteurs, manquant de court-circuiter l’ensemble de mes appareils de navigation. J’ai dû rentrer en mode manuel sans instruments et procéder à un atterrissage d’urgence.
Moins de 10 minutes plus tard, devant les regards effarés des autres pilotes, j’étais à nouveau dans les airs pour aller chercher une équipe d’exploration assaillie par des nuées d’insectes capables de découper un blindage céramique de 2 pouces avec leurs mandibules.
Ce jour-là, j’ai ramené deux navettes qui ont fini à la casse mais j’ai sauvé deux équipes.
Je suis une casse-cou ?
Ce n’est pas très éloigné de la vérité, mais c’est très réducteur. On peut me croire folle, imprudente, voire cinglée. J’admets… Mais je me suis engagée pour protéger et servir et je fais passer mon serment avant ma sécurité. C’est mon devoir envers les miens.
J’admets qu’être une pilote d’essai et de chasse peut être grisant. Maintenant que je pilote une écaille, je prends encore plus mon pied. Prendre des risques, cela fait partie de mon job et j’ai accepté depuis longtemps que cela pouvait mal se passer. Mais ne croyez pas que je suis inconsciente des risques. Je ne me laisse simplement pas contrôler par ma peur.
Celle-ci toujours présente lorsque je vole et si un jour elle venait à remporter la partie, elle me clouerait au sol, mettant fin à mes rêves. Je l’ai ressentie pour la première fois lorsque j’ai eu dû procéder à ma première éjection d’urgence. Elle était un frisson terrible dans ma colonne vertébrale, menaçante et oppressante et comme une boule au ventre qui menaçait de me paralyser… mais je l’ai combattue et je l’ai maîtrisée.
Cela fait de moi une fille sure d’elle, qui ne baisse pas facilement les yeux et qui ne tient rien pour acquis définitivement. J’aime ma vie aventureuse. Je ne m’ennuie jamais. Piloter un chasseur dans le cadre de missions de combat, c’était vraiment passionnant, mais piloter une Ecaille, c’est ce que je connais de plus grisant au monde. J’ai besoin de défis pour me sentir entière et le Projet Noé m’a offert le plus beau de tous.
Est-ce que les autres m’apprécient ? Difficile de répondre sans paraître prétentieuse… Je pense que oui mais j’avoue avoir parfois un léger entêtement et un peu de mauvais caractère qui peut me causer quelques torts. Je peux être aussi de très mauvaise foi quand je promets de ne plus risquer ma vie (je sais très bien que je serais là si d’autres ont besoin de moi). Malgré la peur, malgré les difficultés et les dangers, je suis et je reste une pilote de combat. Cela n’aide pas pour établir une relation amoureuse stable et équilibrée. C’est peut-être pour cela que je prends la vie du bon côté et que je vis au jour le jour.
Je suis sûrement considérée comme une bonne vivante. En tout cas, je sais me fondre dans un groupe. J’aime m’intégrer aux autres et ressentir que nous sommes tous engagé ensembles pour un projet qui dépasse l’individu. Faire partie d’une communauté, ça me plait et ça me donne la force de me dépasser. Je fais la fête, je profite de la vie et je fais le métier le plus génial au monde. Que demander de plus ?
Le sexe ? Indispensable. Faire la fête ? J’arrive. Boire ? Pourquoi pas ? J’ai une recette artisanale Pèche-Ananas-Bang que je tiens de mon grand-père. Faîte attention quand même, ça arrache le gosier. Les amies ? Les bonnes copines restent. Même si on a couché ensembles. Les mecs ? Une passade. Voler ? C’est mieux que le sexe. Désolé, mais c’est vrai.
Je ne suis pas croyante au sens religieux du terme mais j’ai eu autrefois des expériences étranges lorsque je visitais les sites tribaux aborigènes protégés. J’étais très attirée par la vision du « temps du rêve » dont me parlait mon arrière grand-mère, même si je n’ai jamais eu l’occasion de pouvoir en apprendre autant que je le voulais. Je crois qu’au fond de moi, je ressens une attirance certaine pour une philosophie considérant que dans le monde chaque chose doit être à sa place et que c’est en écoutant ses rêves que l’on peut comprendre quelle est la sienne.
Ce que je montre de moi :Je ne passe pas inaperçue. Je sais que je suis jolie et je sais en jouer.
Je suis blonde, plutôt sportive et des années passées à pratiquer des sports aquatiques m’ont donné un corps souple et musclé. Je mesure 1m71 et je pèse 60.5 kg. J’ai de jolies fesses dont je suis fière et des seins menus mais agréables. Adolescente, j’étais une vraie asperge plate comme une limande et je complexais un peu, j’avoue. Heureusement les ans viennent corriger certaines imperfections difficilement supportables. Je suis satisfaite de mon corps à présent, malgré mes cicatrices et mes cabosses, j’ai belle allure. Enfin si vous n’êtes pas d’accord, je m’en fous..
Je porte généralement une frange un peu en désordre et les cheveux longs que j’aime laisser retomber sur mes épaules. Lorsque je pilote, par contre, je les noue soigneusement en chignon pour ne pas être gênée. Mes longs cheveux sont ma seule véritable coquetterie féminine. Jamais je ne voudrais les couper même si parfois ma vieille copine lesbienne m’a dit que je serais superbe même si je les rasais… mais elle avait un peu trop bu de mon tord boyau maison….
J’ai les lèvres fines et bien dessinées, un menton un peu pointu (mes camarades de classe au collège se moquaient de moi en disant que je portais un poinçon sur mon visage et un petit nez en trompette… Oui, oui, horrible hein, n’est ce pas ?
Je ne me soucis pas trop de mon apparence, privilégiant les vêtements militaires et confortables. Je ne porte jamais de jupe et encore moins de dessous sexy. J’ai besoin dans ma vie d’être à l’aise et de pouvoir bouger à mon grès. J’apprécie les débardeurs moulants et les shorts militaires. Je ne me maquille jamais. Enfin presque jamais mais c’est très rare.
Je porte deux tatouages :
Le premier sur mon épaule droite représente un kangourou portant bonnet et lunettes de pilote de la première guerre mondiale, juché sur un vieux jet datant du 21eme siècle. C'est la conséquence de mon bizutage lorsque je suis entrée dans mon escadrille de chasse. Il représente l’emblème de l’unité. Il est de petite taille et ne recouvre que le côté de l’épaule. C'était une erreur de jeunesse... J'envisage de le remplacer par une tortue (Mon arrière grand mère me surnommait sa petite tortue au début en raison de mon mutisme)
Le second est un tatouage aborigène sur mon épaule gauche. Il représente mon lien avec mon arrière grand-mère qui appartenait à la tribu Koorie. J’aimai beaucoup cette femme sans age lorsque j’étais enfant et porter ce tatouage me rappelle un peu mon lien avec la terre d’Australie. Il recouvre toute mon épaule gauche et même une partie de mon omoplate et du haut de mon bras.
Très souriante au quotidien, malgré un mauvais caractère assumé quand je suis contrariée et une mine bougonne certaine quand on m’adresse la parole avant que j’ai pris ma douche le matin, je n’ai pas de mal à me faire des amis.
Je suis sure de moi et confiante et je le montre : Quand on est une femme obligée de s’imposer dans un milieu plein de mecs arrogants et accros à la testostérone, elle ne peut pas rester effacée bien longtemps, ou sinon elle finit par se faire marcher sur les pieds…
Je vous ai dit que je pratique la Boxe, le Krav Maga, la voile, le surf, la natation, le volley et la course à pied ? Non ? Et bien c’est fait. Par contre je n’ai jamais réussi à monter sur un vélo… Il faut dire que chez moi, on apprenait à piloter un avion pour aller à l’école…
Je ne suis absolument pas pudique, habituée à vivre simplement, il m’arrive de recevoir le facteur à moitié nue. Tant pis si je le choque, le pauvre. En fait, je me moque de ce que l’on peut dire sur moi.
Écoutez mon histoire
Le Background du personnage
Enfance :Je suis née à Perth en Australie il y a 27 ans de cela. Je suis un brillant produit du melting-pot Australien. Parmi mes ancêtres, on retrouve des bagnards Anglais, des émigrés Polonais, des militaires Canadiens, un missionnaire Français et même des réfugiés Croates. Mon père était Néo-Zélandais du côté maternel tandis que ma mère avait des liens avec la tribu Aborigène Koorie. Je me suis toujours plus imaginé être une habitante du vaste monde avec des origines multiples que comme une australienne blanche, blonde et aux yeux bleus.
Mon père était pilote d’essai, en poste sur la grande base aérienne de Pearce près de Perth. Ma mère était une fille de fermier et une pilote accomplie qui utilisait chaque jour son avion pour rassembler les vaches et faire le tour de l’immense propriété appartenant à la famille. Autant dire que j’avais le virus du pilotage dans le sang. Les propriétés agricoles dans l’Outback sont tellement vastes qu’il est plus simple d’apprendre à piloter qu’à conduire.
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Nous vivions le plus souvent à Perth mais nous retournions régulièrement voir la famille de ma mère dans l’Outback. J’ai de bons souvenirs de cette époque, nous faisions de la voile en famille dans la baie en semaine et le week-end, j’apprenais à piloter avec mes parents en survolant les immenses étendues du Bush Australien.
Adolescence :J’avais 13 ans quand mon père s’est tué dans un accident d’avion. Je m’étais disputé avec lui pour des bêtises et les derniers mots que je lui aie dits étaient : « je te déteste ». Je m’en suis toujours voulu de lui avoir dit ces mots que je ne pensais pas du tout et pendant un an, j’ai été la pire des adolescentes. Je faisais n’importe quoi, je fréquentais des personnes qu’il aurait mieux valu que j’évite et je me disputais constamment avec ma mère. Finalement ne sachant plus quoi faire de moi, elle se décida à m’emmener de force, loin de tout, en plein cœur de l’Outback. Je lui en ai voulu « à mort », bien évidemment.
Pourtant c’est cette année là que j’ai fait la rencontre la plus importante de ma vie. Une vieille aborigène qui pilotait son propre avion et était, parait-il, mon arrière grand-mère. Si vous me regardez, avec mes cheveux blonds, ma peau blanche et mes yeux bleus, vous vous direz sûrement que c’est une blague et que je n’ai pas la moindre goutte de sang aborigène. Pensez ce que vous voulez, je m’en fous. Cette vieille femme sans âge nommée Allora considérait que ma mère et moi étions de sa famille, ses petites filles blanches comme aimait plaisanter et qu’elle était responsable de nous. Enfin surtout de moi, vu ce que j’étais en train de devenir…
Allora m’a libérée de tout ce qui me rongeait de l’intérieur. Elle était drôle et son sourire était communicatif. Je l’ai aimé du premier regard. Elle donnait l’impression que rien ne pouvait l’atteindre et qu’elle vivait en marge du monde. Elle m’a écoutée, m’a appris que je pouvais parler à mon père dans mes rêves et m’a permis enfin de lui dire que je l’aimais. Je n’en dirais pas plus parce que tout le monde se fout de moi quand je rentre dans les détails. Croyez ce que vous voulez, je sais de quoi je parle.
C’est Allora qui m’a donné envie de suivre la voie de mon père. Je me suis engagée dans l’armée dès la fin de mes études. Ma mère s’est inquiétée mais je l’ai rassurée : je n’avais pas envie de vivre le rêve de papa, mais le mien. Je voulais voler, je voulais franchir le mur du son et je voulais aller dans l’espace. Je suis rentrée dans le programme de formation des pilotes de chasse.
Pilote :C’est à cette époque que j’ai rencontré ma vieille copine Heléna Papadopoulos. Elle était interne en médecine, détachée auprès de nous pour notre formation. Une vraie tête à claque qui nous prenait de haut et qui sortait tout droit de sa tour d’ivoire On s’est clashées dès le premier jour. Je l’ai trouvée arrogante et prétentieuse, elle m’a trouvée cinglée et inconsciente. Et puis on a volé ensemble pour tester un prototype parce qu’on m’en a donné l’ordre. Une semaine plus tard, on couchait ensemble après avoir un peu trop bu. Depuis, on est inséparables, best friends forever si vous voulez. Helena, c’est ma seconde famille. Faut toujours qu’on fasse les 400 coups ensembles.
Être une pilote, c’était tout ce que j’avais toujours voulu être. Il est impossible de décrire ce que l’on ressent quand on vit en jouant avec les limites du corps humain et de la technologie. Je suis juste faite pour ça. J’étais douée et destinée à une grande carrière. J’avais les meilleures notes de ma promo et j’ai fini par intégrer l’élite des pilotes : la chasse. Je voulais franchir de nouvelles frontières et devenir astronaute. J’aurai pu continuer sur cette voie, mais une meilleure opportunité s’est présentée :
Ma mère est morte d’un cancer incurable, il y a trois ans. Elle n’a jamais voulu être traitée, préférant finir sa vie comme elle l’avait toujours vécu. Je n’avais plus qu’Helena et sa famille sur Terre comme attache. Il me manquait quelque chose et la planète Terre me semblait trop petite soudain.
Projet Noé :C’est à ce moment-là que j’ai entendu parler du Projet Noé. Au début, j’ai pensé que cela allait être décevant : Ce que je voulais, c’était voler dans les cieux et dans l’espace. J’ai hésité à m’engager même si rien ne me retenait. Helena voulait tenter l’aventure. Je voulais la suivre mais cela impliquait d’abandonner un rêve qui me tenait à cœur.
Heureusement, j’ai eu vent de recherche top secrètes et mon profil intéressait certains développeurs : Le projet Noé allait explorer des cieux jamais défiés par l’humanité. Les ingénieurs avaient besoin de pilotes d’essai pour les nouveaux modèles de chasseurs spatiaux affectés à la défense de l’Arche Avalon et des navettes orbitales. En intégrant ce projet, j’allais non seulement aider à développer un matériel tout nouveau, mais aussi le tester et le mettre au point. Et ce dans un ciel qui n’avait jamais été conquis par aucune autre femme. Finalement, ce n’était pas si ennuyeux que j’aurai pu le craindre.
J’ai signé et je ne l’ai pas regretté malgré tout ce qui s’est passé par la suite.
Le crash et la Nouvelle Avalon :J’ai été réveillée à plusieurs reprises pour effectuer des tests au cours du long trajet de 60 ans qui nous a mené à notre nouveau chez nous. Je n’ai pas vu grand-chose du crash mais j’ai été une des premières personnes à être réveillée, devançant de peu Helena et sa famille. Nous devions de toute urgence établir un campement provisoire. Autour de nous, la nature était incroyablement hostile.
L’une de mes premières sorties aux commandes des navettes civiles dont nous disposions a faillit très mal se terminer puisqu’un Froudroiseau a littéralement arraché un réacteur de ma navette. J’ai fait face. Pas le choix, me diriez vous ? Mais je suis à ma place ici à la Nouvelle Avalon. Nous établir sur cette nouvelle planète est un défi comme j’adore en relever. Mon passé de pilote de chasse m’a appris à toujours saisir les opportunités et à ne jamais me sentir dépassée.
Franchement, je m’éclate. Je ne voudrais être nulle part ailleurs. Cerise sur le gâteau, je suis compatible avec le système neural d’un Ecaille. Celle dont j’ai hérité est un modèle capable de vol stratosphérique et supersonique. Avant je volais dans des jets et des chasseurs, maintenant, je porte une armure qui fait de moi une véritable « aile volante ». J’adore !
Au sein de l'UTDR, grâce à mon expérience militaire de pilote de chasse, je suis l'une des personnes les plus à même de guider au mieux les nouvelles recrues dans la maîtrise de leur écaille et de se charger de l'entraînement des "vétérans". J'occupe donc les fonctions d'instructrice et de planificatrice des exercices.
Mon écaille SKYHAWK étant une arme de combat rapide et brutale, je jouerai le rôle de réserve mobile en cas de gros danger jusqu'à ce que nous ayons d'autres pilotes d'écailles capable de remplir ce rôle parmi nous.
Derrière le Personnage
Pseudo, Âge
| » Comment as-tu découvert le forum ? Par un message sur Discord du fondateur » Comment se nomme l'inventeur des Écailles d'Avalon ? Erik Carlsson » Le personnage sur ton avatar : Aucune idée de qui c’est et comme j’ai trois images, cela devient compliqué… » Un dernier mot ?Le monde est un fondant au chocolat qui attend d’être dévoré à pleines dents |
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